Henri a essayé x fois de proposer à son épouse de mettre du piment dans leur vie de couple en faisant un peu de BDSM. Sandra a toujours refusé, se faire claquer les fesses ne l’amuse pas du tout ni de jouer à pan pan cul cul avec celles de son mari. Un jour il s’est offert une cage de chasteté, il avait envie d’essayer. Il lui a fait voir l’objet du délit et lui a proposé de garder les clés, par dépit elle a accepté mais les a posé sur le buffet de la cuisine sans rien faire de plus. La CB6000 est retournée dans sa boite.

Malgré ce petit décalage dans leur sexualité, Henri et Sandra s’aiment profondément, après trois fausses couches, elle a abandonné l’idée d’avoir un bébé, un drame pour les deux et surtout pour Henri qui rêvait d’avoir un fils. Un matin de RTT, elle utilise l’ordinateur familial pour ses recherches généalogiques quand son navigateur plante. Furieuse, elle redémarre le PC puis va fouiner dans l’historique pour retrouver le super site quelle venait de trouver par hasard. En apercevant des sites BDSM dans l’historique non vidé par Henri après ses surfs, la colère monte en elle, son cochon de mari surfe sur des sites de cul très pervers. Mue par la curiosité elle se met à fouiner et découvre qu’il rêve de soumission et contacte des Maîtresses. Convaincue qu’il la trompe, elle fond en larme. Qui appeler pour raconter qu’elle est cocue par une Maîtresse qui sodomise son mari ? Personne, cela ne peut pas se raconter.

Au bout d’un moment, et un paquet de mouchoir, elle se remet à fouiner, elle veut en savoir plus. Ayant enregistré ses mots de passe, Henri a laissé la porte ouverte à l’enquêtrice motivée par la colère. Ce qu’elle découvre dans les messages la perturbe énormément autant que cela la console :

• Ma femme est une perle, le rêve de ma vie, hélas le BDSM ne l’intéresse pas.

• J’aime ma femme plus que tout, je ne la quitterai jamais mais j’aimerai vous servir de temps en temps et que vous me punissiez.

• J’avais je ne tromperai ma femme, le sexe sans elle ne m’intéresse pas. Je suis soumis pas libertin.

• Je ne cherche pas de relation extra conjugale, je suis marié, ma recherche est juste BDSM, j’ai besoin de vivre mes pulsions de soumission.

• Je ne peux pas avoir de marque sur le corps, cela ferait trop de peine à ma femme si elle découvrait que je me soumets à une Maîtresse.

• ....

Rassurée sur les intentions de son mari, son regard évolue, Sandra cherche donc à comprendre quand soudain, dans ses recherches, elle découvre qu’il a une relation suivie avec une Maîtresse vénale à qui il rend des services en plus de ses prestations. Il lui apparaît à la lecture de la correspondance soutenue avec elle, qu’une forme d’amitié platonique côté sexe voit le jour entre eux. L’amour commençant parfois par l’amitié, Sandra recommence à prendre peur. Elle ne veut pas perdre son mari qu’elle aime profondément et qui plus est semble vouloir rester fidèle et l’aimer aussi. Elle veut comprendre pourquoi ? Pourquoi il a besoin de se soumettre, pourquoi il fait ça, d’où ça lui vient ? Il lui vient à l’esprit qu’il lui en a déjà parlé quelquefois mais qu’elle n’a jamais donné suite ni même essayé. Femme de tête, Sandra prend donc contact avec Maîtresse Cris. Les échanges au départ sont tendus, la dominatrice ne veut pas de scandale ni de soucis.

• J’ai juste besoin de comprendre

• J’ai juste besoin d’apprendre

• Je vous jure que je ne ferai pas de scandale, vous n’y êtes pour rien s’il a des envies que je n’assume pas.

• J’ai besoin de vous rencontrer, de voir je suis prête à payer une séance juste pour ça, je vous en prie.

• .....

Au téléphone, Maîtresse Cris sent bien que son interlocutrice est sincère et même sympathique, elle prend donc un peu de temps pour discuter avec elle. Soumis Henri est adorable, sa femme semble très sympathique, elle accepte donc de lui donner quelques informations.

• Maîtresse Cris j’ai une proposition à vous faire. J’aimerai faire une surprise à mon mari. Je doublerai le prix de la séance et vous jure sur la tête de mes parents qu’il n’y aura aucun scandale. J’aimerai un jour venir chez vous quand vous faites une séance mais que ce soit une surprise pour mon mari. Je parle d’une agréable surprise pas d’un scandale, je ne veux pas divorcer, je ne pourrai pas vivre sans lui et vous seule pouvez nous aider.

Touchée par la proposition de Sandra, la dominatrice accepte. Sandra devra arriver chez elle jeudi à 14h30 avec la cage de chasteté dont elle lui a parlé. Le soir même, Sandra a beaucoup de mal à ne pas parler de ses découvertes. Pour limiter les échanges, elle se dit fatiguée. Son mari inquiet la croit souffrante, il débarrasse la table et fait même la vaisselle pour la soulager, il va jusqu’à lui apporter sa tisane au lit, un geste qui en d’autre temps, lui aurait fait plaisir, là elle est mal à l’aise de lui mentir.

Le jeudi en question, elle a pris un jour de congés et se rend chez la dominatrice. A 14h30 précise elle sonne d’un doigt fébrile, elle a très peur et se demande si elle ne fait pas une bêtise. Accueillie par un grand sourire et une main tendue, elle pénètre dans l’appartement emménagé en donjon et découvre son mari attaché sur le ventre sur une sorte de cage à fauve. Entre ses fesses dépasse un plug noir, une canne anglaise et posée sur son dos. Maîtresse Cris lui fait signe de ne pas parler, de la laisser faire.

• Alors petit soumis, tu as été vilain cette semaine ? Tu ne t’es pas assez occupé de ta femme et l’as laissée faire toutes les tâches ménagères ?

• Oui Maîtresse, j’ai honte, surtout qu’elle m’a semblée souffrante.

• Et tu l’aimes ta femme ?

• Oh oui Maîtresse, c’est la prunelle de mes yeux.

Les yeux se Sandra se gorgent de larmes en entendant cette réponse.

• Et tu trouves normal de jouer les machos et de lui laisser tout faire à la maison ?

• Non j’ai honte Maîtresse.

• Et bien j’ai une surprise pour toi petit soumis, tu vas devoir t’excuser et sera puni pour ça ! Déclare Maîtresse Cris en prenant Sandra par la main pour la faire asseoir sur un fauteuil face à la cage où son mari est entravé nu.

Henri est choqué. Son coeur semble s’arrêter de battre. Sa gorge nouée ne laisse échapper aucun son, de toute façon il ne sait que dire.

• Petit soumis, je vais donc te punir pour avoir négligé ta femme ! Indique Maîtresse Cris en lui donnant deux coups de canne anglaise sur les fesses.

Même s’ils étaient appuyés, Henri les sent à peine tant son esprit est ailleurs. En plus de la honte, il n’a pas peur d’être puni ou de souffrir, il a peur que sa femme le quitte.

• Madame Sandra est d’accord pour que tu lui présentes tes excuses pour l’avoir négligée cette semaine. N’est-ce pas Madame ?

• Oui je suis d’accord ! Répond Sandra ne sachant que dire de plus.

Sentant que Sandra est au bord des larmes, Maîtresse Cris ajoute que ces excuses vont se faire à la façon BDSM. Elle demande à Sandra de poser ses chaussures et de le poser ses pieds sur un tabouret qu’elle dépose devant le visage d’Henri.

• Lèche les pieds de Madame Sandra pendant que je te donne la fessée que tu mérites. Si tu cries ou te plains je cannerai tes cuisses, cela fait très mal et depuis aujourd’hui, nous n’avons plus rien à faire que tu ais des marques, ta femme sait tout. Ponctue Maîtresse Cris en abatant la canne sur les fesses d’Henri.

Ne sachant que dire ou faire d’autre, Henri se met à lécher les pieds de sa femme, Maîtresse Cris ne l’épargne pas, ses fesses portent rapidement des marques qui vont durer quelques jours. Sandra est très perturbée mais commence à comprendre qu’effectivement il n’y a pas de sexe dans le BDSM, le lieu ne s’y prête pas. Voir son mari lui lécher els pieds, en d’autre temps lui aurait paru inadmissible, là il s’agît de tout autre chose, d’un autre monde qui lui échappe.

• Venez Madame Sandra, nous allons le punir ensemble ! Indique Maîtresse Cris en lui tendant la main.

Maîtresse Cris donne alors un martinet lourd qui n’a rien à voir avec ceux que l’on achète dans les animaleries. Sandra n’ose pas, la dominatrice lui prend la main en lui chuchotant « il aime ça, faites-lui plaisir ». Si au départ les coups n’étaient que des caresses, les suivants montent en intensité. Elle passe toutes ses angoisses et sa colère sur les fesses d’Henri qui tire maintenant sur ses entraves.

• Aller, encore 10 bien appuyés et après nous avons quelque chose à faire d’important ! Annonce Maîtresse Cris en lui faisant signe d’y aller de bon coeur.

Ces dix derniers coups de martinet sonnent le glas de la liberté sexuelle d’Henri, ce qu’à prévu Maîtresse Cris est diabolique. Libéré de la cage, Henri est contraint de se mettre à genoux devant la fauteuil où Sandra doit prendre place.

• Ce coquin se branle tous les soir devant l’ordinateur au lieu de s’occuper de vous et de vous faire des massages ou des câlins. Je crois que vous avez emmené un objet qui ira très bien à ce vilain soumis qu’il vous faudra contrôler un peu plus. Sortez-le de votre sac à main pendant qu’il agite sa nouille devant nous une dernière fois.

Très perturbée, Sandra écoute depuis le début toutes les consignes de Maîtresse Cris. Elle lui tend donc la boite contenant une CB6000.

• Mais non, ce n’est pas moi qui vais la lui mettre, il va se la mettre tout seul puis vous donner les clés.

Henri toujours à genoux et ultra perturbé met donc sa cage de chasteté et ferme le cadenas.

• Donne les clés à Madame Sandra, cette fois, crois-moi sur parole, elle va les cacher. Je sais qu’elle a compris que tu es un gros vilain qui a besoin d’être cadré.

Sandra acquiesce de la tête, Henri s’exécute et tend les clés à sa femme avant de finir en larmes la tête entre ses jambes tout en lui criant des « « pardon » dès plus sincères. Sandra à son tour se met à pleurer, Maîtresse Cris les laisse seul un petit moment pour qu’ils se retrouvent. A son retour dix minutes plus tard, Henri s’est rhabillé, ils sont enlacés au milieu du donjon.

• Alors les tourtereaux, ça va ?

• Oui Maîtresse Cris, vous êtes trop géniale. Répondent Henri et Sandra.

• Non celle qui est géniale c’est ta femme, c’est vraiment la perle que tu m’as si souvent décrite. Si vous voulez revenir tous les deux, vous serez les bienvenue, cela me plairait beaucoup de former Madame Sandra. Qu’en pense t’elle ?

• Nous reviendrons, promis ! Lui répond Sandra en la serrant dans ses bras. Merci, merci, merci.

Epilogue

Depuis ce jour là, la clé de la cage de chasteté est bien caché. Henri continue de surfer sur Fessestivites sauf qu’il est sage... Sandra quant à elle, est devenue une bonne cliente de la boutique ABCplaisir, elle y a même récemment acheté un paddle, fesser son mari lui faisait mal à la main. Ils sont retournés plusieurs fois chez Maîtresse Cris, à des occasions comme leur anniversaire de mariage.

Conclusion : n’enregistrez pas votre mot de passe de Fessestivites, sauf si.......

Ecrivaillon